Les fleurs, c'est ma maison, ma maison, c'est une serre ; mon enfance, c'est un jardin ; mon futur, c'est un paradis terrestre... Chez Jean-Marie Pelt, tout ramène au jardin : le jardin de l'enfance où son grand-père lui a transmis l'amour de la nature ; le Jardin d'Eden, où il a rencontré Dieu, la ville jardin en laquelle il a transformé la ville de Metz, le jardin Terre qu'il s'est donné mission de servir...
Laissez-vous guider à travers les jardins de Jean-Marie Pelt et découvrez l'un des grands éveilleurs de conscience de notre temps, un homme en qui vibre L'âme de la nature.
Toutes les cultures du monde se sont interrogées sur la question du « sens ». Dans notre société en perte de repères, la science, permet, en explorant le réel du big bang jusqu’à l’homme, d’apporter des éléments de réponse à cette question.
C’est ce qu’il appelle le « principe d’associativité ». Par de multiples exemples puisés dans la nature, Jean-Marie Pelt met en lumière le fait que la vie doit davantage à l’alliance qu’à la rivalité. Pierre Rabhi défend avec lui ce principe en « intendant et serviteur de la Terre nourricière », comme il se définit lui-même.
Les héros d'autrefois s'étaient couverts de gloire sur les champs de bataille. Celles et ceux d'aujourd'hui ont fait progresser la conscience humaine : Helder Camara, Las Casas, Gandhi, Mandela, Aung San Suu Kyi, Schoelcher, sans oublier les martyrs de l'écologie (Diane Fossey, Chico Mendes, Bruno Menser) ou les peuples en lutte pour préserver leurs droits et ceux de leur environnement. Tous se sont engagés, souvent au péril de leur vie, à défendre de grandes causes : lutte contre l'esclavage ou les excès du colonialisme, pour la démocratie, les droits de l'homme et plus récemment l'écologie.
La question de l’évolution est au cœur de la biologie mais, de par ses implications philosophiques, au cœur aussi d’une polémique qui fait rage entre créationnistes et évolutionnistes. Jean-Marie Pelt interroge ici la botanique pour l’inviter dans ce débat où elle a eu jusqu’à présent peu de poids.
Selon la vulgate darwinienne, l’évolution est le fruit d’une action conjuguée du hasard producteur de mutations et de la sélection naturelle des mutants les mieux adaptés.
La botanique ne remet pas en cause ce processus, mais elle attire l’attention sur d’autres mécanismes et, en particulier, sur ce que l’auteur appelle le principe d’associativité.
Non, les saints ne sont pas tristes ! A l'heure où pullulent les stars médiatiques, Jean-Marie Pelt dépoussière ces modèles enfermés dans leur niche, ou tellement proches que nous ne les voyons pas. Nous découvrons des vies incroyables ou minuscules, et dont nous ignorions qu'elles étaient si romanesques.
Ces Voies du bonheur sont une façon pour Jean-Marie Pelt de nous parler différemment d’écologie, mais avec une approche tout empreinte de spiritualité. C’est à un retour aux origines qu’il nous convie ici, aux grands textes fondateurs de notre civilisation
Qu’il s’agisse des trois religions monothéistes, mais aussi du bouddhisme ou des cultes animistes, les écrits et paroles recueillis de ces différentes traditions sont unanimes : l’homme se doit d’être proche de la nature, de la terre-mère, car c’est elle qui le porte et le nourrit.
Enfant, Jean-Marie Pelt est ébloui par les églantiers aux fleurs rose pâle du jardin de son grand-père. Devenu grand, il est professeur de botanique a la faculté de pharmacie de Nancy puis à l'université de Metz, et sillonne inlassablement la nature, de sa Lorraine natale aux montagnes arides de l'Afghanistan, pour découvrir et observer les plantes. Rempli d'anecdotes personnelles, ce livre illustré mêle souvenirs d'un pionnier de l'écologie et engagements éthiques d'un homme porté par l'amour de la Terre.
On connaît Jean-Marie Pelt pour ses livres, ses conférences, ses chroniques radiophoniques et sa célèbre série télévisée " L'aventure des plantes ". Mais le scientifique est aussi un homme de foi... C'est avec simplicité, humilité, mais aussi avec une grande liberté qu'il s'exprime sur la crise de l'Eglise, confrontée aux défis de la modernité, sur la science, elle aussi confrontée à des remises en cause radicales, sur l'écologie dont les exigences sont de plus en plus pressantes.
Mon âme est un jardin que Dieu a dessiné. Il m'a ensemencé comme un champ, planté comme un verger. Puis il m'a confié à des jardiniers préposés à cet effet, qui furent mes maîtres. Ceux-ci m'apprirent à devenir à mon tour un bon jardinier. Toutes les graines sont présentes au départ, les bonnes et les moins bonnes. Ce mélange subtil n'appartient qu'à soi. Chacun reçoit son lot. Celui-ci, unique, est le mien...
Ce livre, destiné à tous, est plus particulièrement dédié aux scientifiques, aux responsables politiques, aux professionnels des médias qui ont en charge la marche du progrès. Mais il s'adresse aussi aux responsables religieux qui veillent au progrès des âmes ; et ce n'est pas le même progrès...
Cet essai voudrait humblement contribuer à l'éclosion d'un nouvel humanisme : humanisme écologique éclairé comme du dedans par une nouvelle approche du problème de Dieu
J'ai rencontré Dieu tout petit, sur les genoux de mon grand-père, au fond de son jardin. Avec de telles racines, la vie devait tout naturellement m'amener à l'écologie. Dans une société qui privilégie le progrès scientifique et technique, dans un monde devenu radicalement urbain, le nomadisme et le ruralisme bibliques apparaissent comme surannés